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Voilà, voilà! Ça avance doucement mais surement! Je prévoie de vous montrer une bonne partie du travail de recherche que j'ai fait même si tout n'est pas abouti quand j'aurais,... envie de tout scanner! ^^

Ohlàlà si vous voyiez la pile de dessin que ça représente!

Voilà une petite compil' de ce que j'avais déjà sous la main pour vous donner une idée...

Et la suite de FT évidement!

Avec une illustration de l'intro. :3

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Marvel tourna la poignée. Lorsque la porte bascula sur ses charnières la rouquine resta ébahie. La chambre était entièrement blanche, toute la pièce était remplie de longs tubes de plastique qui acheminait plusieurs solutions liquides de plusieurs machines jusqu’au lit qui se trouvait juste en face de la porte. Allongée sous une épaisse couverture, l’adolescente devina la présence d’Hanna. Ses longs cheveux noirs étaient éparpillés sur l’oreiller. Marvel pénétra dans la pièce doucement, comme s’il pénétrait dans un lieu sacré.
-Hanna ? Elle est là.
-Approche petite, je ne suis pas au mieux de ma forme mais n’ai pas peur, je ne suis pas contagieuse.
-Je n’ai pas peur, je cherche juste à comprendre pourquoi.
La masse se releva et le visage d’Hanna apparut par-dessus l’amas de couverture. Son visage était pâle comme si tout le sang qu’il avait contenu s’était évaporé et sa peau luisait de sueur sous la lumière ocre de l’ampoule qui pendait au-dessus du lit.
-Comprendre quoi ? Le mécanisme de ces machines ? L’utilité de tous ces tubes ?
-Non, rien de tout ça. Je cherche à savoir comment on a pu fabriquer une chose comme ça.
D’un mouvement de la main elle désigna la porte derrière elle. Un sourire s’esquissa sur les lèvres exsangues de la malade.
-Je ne vois pas Petite.
-Je parle de la…
Elle se tourna vers Marvel qui mi amusé, mi inquiet lui souffla la réponse.
-La porte.
-Je vois. Approche.
Sans hésiter la rouquine s’approcha du lit. Plus ses pas la rapprochaient d’Hanna et plus le corps de la femme lui semblait frêle et fragile. Plaquée sur le sommier par le drap bordé consciencieusement de chaque côté, ses bras maigres reposés sur le drap presque aussi blanc que sa peau. Dans un élan de compassion, l’adolescente posa sa main sur celle de la femme, sa chair était brûlante de fièvre.
-J’ai connu pire Petite, bien pire, ce n’est qu’une période de fièvre rien de plus.
La jeune fille ne pouvait s’empêcher de fixer les prunelles blanches qui étaient braquées sur elle, elle avait tellement l’impression qu’elle pouvait la voir. Elle tentait de s’imaginer, imprimée sur ses pupilles, imprégnée dans ce cerveau, gravée dans cette mémoire. Mais elle ne pouvait pas y être, plus rien ne pouvait s’inscrire dans ses yeux. Elle était si absorbée par ce regard qu’elle ne remarqua la présence de Marvel derrière elle que lorsque celui-ci posa sa main sur son épaule, resserrant doucement son étreinte dans un geste réconfortant. L’adolescente le regarda et sourit.
-Vas-y. lui murmura-t-il.
-Hanna, j’aimerais savoir…la première fois que vous m’avez vu, de quoi avez-vous eu peur ?
La femme sursauta légèrement.
-il est trop tôt pour le dire Petite, beaucoup trop tôt.  Il faut cependant que tu sache une chose : ce monde est dangereux, ne le laisse pas t’avoir.
-Je ne comprends pas.
La main frêle se resserra autour des doigts de l’adolescente.
-Il n’est pas nécessaire de comprendre, il est nécessaire d’observer. Dans cet environnement un minuscule détail peut te sauver la vie.
-Je ne sais même pas où je suis !
La femme eu un sourire triste.
-Marvel t’expliquera ça mieux que moi. Je dois me reposer.
-Mais…
-Suis ses conseils, il sait quoi faire.
Quelques instants plus tard l’adolescente rousse se retrouvait assisse à une petite table de bois, entre ses mains de la fumée s’échappait d’une tasse remplie de thé (aux dires de Marvel). Le jeune homme, quand à lui, restait adossé au meuble, à l’opposé de la pièce. Il semblait mal à l’aise, et quelque chose dans son regard faisait penser à de la tristesse.
-De quoi souffre-t-elle ?
Il leva les yeux, coupé de ses pensées.
-Pardon ?
-Hanna. De quoi souffre-t-elle ?
Il soupira. Le désespoir de ce soupir saisit la rouquine à la gorge.
-Elle va mourir ?
-On meurt tous un jour.
Sa voix était étrange, presque chevrotante.
Les pieds de la chaise crissèrent sur le carrelage tandis que son poing s’abattait avec force sur la table.
-Bon sang tu vas finir par m’expliquer ce qui se passe ici ?!!
-Trop de choses !
Chacun fixait le regard de l’autre mais les deux savaient pertinemment que sans la personne en face ils risquaient de mourir.
-La Terre est sur le point de mourir… Enfin pour être plus précis, elle est sur le point d’être détruite.
-Mais… comment est-ce possible ?
-Je ne suis pas assez haut placé pour répondre à cette question mais crois moi j’aimerais bien le savoir aussi. Je sais seulement que le gouvernement a mis en place un programme…« d’élimination ».
-Pour éliminer qui ?
-Pour nous éliminer, nous.

J'ai mal aux dents...

Morte? Non pas encore,... Certains lubiens pourrons vous le prouver! Car j'ai enfin pu assister à une rencontre lubienne, se déroulant à Toulouse!
Aussi, j'ai rencontrer Quasar, Tarran, Rozie, Grand Père Navet, Jean et Lorinne. :)
Puis j'ai eu droit à des dessins!

Merci à eux! <3

Et la présentation des personnages avance doucement, j'ai rarement le temps de les mettre au propre malheureusement,  surtout que l'histoire évolue malgrés moi et les personnages aussi, parfois même de nouveaux apparaissent!

Comme ceux là! Deux jumeaux créer hier. :)

Solange je ne sais même pas encore qui ça peut être. 0.0 Mais c'est quelqu'un j'en suis certaine. ^^

Liam/Lovan, j'hésite encore finalement pour le nom de ce jeune homme. Et son copain est complètement raté en passant...

Bon, Daniel, je te fais toujours une drôle de tête! Je m'excuse! Puis la jeune Rym et le jeune Dan y on eu droit aussi... Pardon.

Puis une Rym en couleur! Pour changer un peu. Mais rien n'est encore définitif.

 petit bric à brac de tout et rien...

Et pour finir comme toujours, la suite de FT. :)

Elle renvoya la couverture et appuya ses pieds sur le sol, les rétractant aussitôt. Elle les rapprocha de nouveaux, doucement. Lorsqu’ils effleurèrent le plancher elle eut un sursaut de peur qui n’échappa pas à Marvel.

-Le toucher aussi vous découvrez ?

-Les mains je connaissais déjà un peu, mais les pieds…j’ai toujours eu des chaussures… ou des chaussettes.

Elle se leva finalement totalement.

-Tout va bien, on peut y aller.

Immédiatement elle s’effondra. Elle eut juste  le temps de se retenir aux bras tendus de Marvel.

-Vous voyez, trop faible.

-Un point pour vous mais je dois voir Hanna.

-Il y a match nul.

Les deux étaient maintenant face à face, leur visage se touchaient presque.

-S’il vous plaît ?

Marvel soupira.

-Je vais chercher vos chaussures.

Assisse sur le bord du lit, la rouquine essayait de lacer ses converses mais ses doigts ne cessaient de déraper. Finalement Marvel finit par s’agenouiller devant elle et, saisissant son pied, entreprit de lui fermer ses chaussures. L’adolescente le regarda faire.

-Vous ne savez même pas faire vos lacets. Vous êtes tellement contradictoire.

-Je suis une extra-terrestre.

Il eut un gloussement sarcastique.

-Sans rire.

-Je viens de m’en rendre compte.

Cette phrase, cette simple phrase figea le jeune homme. Il n’osait pas lever les yeux, il avait peur de ce qu’il pouvait voir.

-Je ne sais pas qui je suis, je ne sais même pas ce que je suis. Je sais juste que je ne suis pas comme vous. Avez-vous déjà ressentit ça ? Savoir que vous êtes différents mais ignorer en quoi. Je sais des choses comme si j’avais déjà vécu, j’en découvre d’autre comme si je venais de naître. J’ai le sentiment d’être…irréelle. Une erreur dans le temps et l’espace. Un grain de sable dans une machine gigantesque, tellement gigantesque que le grain de sable en a peur.

Elle eut un rire nerveux.

-Je sais ce qu’est la peur. Je ne sais pas faire mes lacets mais je peux définir mes émotions. Je ne connaissais pas les couleurs mais je connais les noms de centaines de systèmes solaires et de chacune des planètes les composants. Je ne me connais  pas mais je pourrais vous citer de mémoires au moins 3486 espèces différentes avec leurs traits distinctifs, leurs points faibles et leurs forces majeures. Je…Je suis une encyclopédie Marvel, une source de connaissance à qui on a donné forme humaine sans lui fournir les éléments nécessaires pour en être une.

Finalement l’homme releva la tête. Il avait vu juste, elle pleurait. Deux larmes silencieuses roulaient sur ses joues, pourtant son expression n’était pas triste, elle semblait juste un peu perdue. Ses grands yeux verts rivés sur lui.

-Vous pensez qu’un jour j’apprendrais qui je suis et d’où je viens vraiment.

Toute la haine de l’homme avait disparu à la vue de ses deux larmes minuscules. Il finit de serrer le lacet qu’il tenait entre ses doigts et se rapprocha d’elle, toujours à genoux, il se plaça de façon à ce qu’elle ne puisse voir que lui.

-J’en suis certain.

Elle eut un petit sourire, comme les ados savent si bien faire. Le genre qui veut dire je n’en suis pas sûre mais j’ai confiance en toi. Marvel se releva et la regarda se redresser. Les pieds engoncés dans les chaussures de toile rouge, la rouquine semblait reprendre tout son aplomb. Elle se dressa devant lui, sans ciller, sans trébucher.

-Je suis prête. Assura-t-elle.

-Suis-moi.

Alors qu’il sortait de la pièce il ne put s’empêcher un sourire et un soupir de soulagement. Sans savoir vraiment pourquoi, il ne voulait pas la voir pleurer, son caractère innocent, juvénile et pourtant si mature à la fois lui mettait le baume au cœur.  Alors qu’elle allait passer le pas de la porte, elle fit immédiatement demi-tour, sous le regard abasourdi de l’homme.

-Où tu-vas ?

-Mon manteau et ma planche.

-Ton manteau et ta planche ?

-Oui, le grand morceau de tissu noir et mon skate de l’espace.

- Je ne suis pas idiot.

-Si tu le dis. Où sont-ils ?

-Dans l’armoire.

L’adolescente se retourna vers lui, l’air gêné.

-L’armoire.

-Oui l’arm… Oh non.

-J’y suis pour rien !

-Tu ne sais pas ce que sais ?

- Demande-moi ce qu’est un Hyppoloncus à double lame et là tu auras des chances d’avoir une réponse.

-Un Hyp… Un quoi ?

-Hyppoloncus à double lame. Mais laissons ça pour une autre fois. Montre-moi…l’armoire…. S’il te plait ?

-Le gros morceau de bois au fond de la pièce.

-Ça ?

-Non gamine, ça c’est la table.

-Voilà qu’il m’appelle gamine maintenant.

-Qu’est-ce que tu marmonne ?

-Sois plus clair.  

-Ok c’est le truc juste sur ta gauche… Non la gauche… C’est pas vrai ça aussi tu connais pas ?!

-Hey !

-Mais enfin je t’ai guidé dans la rue.

L’adolescente se retourna, la colère brillait dans ses yeux.

-Quand tu tends le bras dans la direction en question c’est beaucoup plus simple de savoir où aller !

Marvel se redressa, comme s’il avait reçu une décharge électrique.

-OK gamine, du calme. C’est là. Dit-il en pointant du doigt l’objet sculpté dans un bois massif.

-Ça ?

-Ouaip.  Le petit morceau de métal dessus, tire le vers toi.

-Eh mais ça bouge !

-Sans rire.

-Arrête.

-Ok, ok j’ai rien dit.

Finalement l’adolescente parvint à ouvrir l’armoire et à récupérer ses affaires, qu’elle s’empressa d’enfiler comme si sa vie en dépendait.

-Je suis prête.

Elle passa enfin le pas de la porte, au grand soulagement de Marvel. Celui-ci la guida jusqu’au palier du dessous. Il s’arrêta devant une porte rouge. Alors qu’il allait ouvrir la porte la fine main de l’adolescente se posa sur le bois. Marvel resta la main suspendu au-dessus de la poignée et regarda les doigts suivre les nœuds cachés sous la peinture.

-Gamine…

-C’est étrange.

-Quoi donc ?

-Cette couleur… C’est bien la couleur de la maison non ?

-Oui, et alors ?

Elle retira brusquement sa main.

-Non rien. Allons-y.

Raou raou raou.

Alors voilà en ce moment, j'suis pas mal occupée.

Mais genre pas mal.

Puis j'fais plein de chose:

Genre, du théâtre.

 Visiter la famille, et faire un break au bord de la plage. ♥

Et dessiner des lubiens. :)

Et la suite de FT. :)

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Chambre/jour

Lorsqu’elle rouvrit les yeux, toutes les couleurs qui l’entouraient lui vrillèrent les pupilles, la forçant à refermer ses paupières. Ne pouvant se servir de ses yeux elle utilisa ses oreilles. Cela ne lui prit pas longtemps pour situer Marvel, sa voix résonnait dans la salle en dessous.
-Comment ça pas humaine ?! Comment peut-elle ne pas être humaine ? Hanna dit quelque chose ! Tu te rends compte des conséquences de sa présence ici ? Tout ce que nous avons mis en place, les tours de garde, les barrages, la mise en quarantaine du secteur, la désinfection d’immeuble entier ! Tous ces sacrifices pour nous rendre compte qu’une gamine de 16 ans arrive à entrer dans la zone sans aucun problème. J’ai espéré tellement de choses de tous ces sacrifices, je refuse de les mettre en péril pour un folle amnésique qui ne sait pas plus de chose sur elle-même que sur le monde qui l’entoure !
Le cœur de la rouquine lui faisait mal, jamais elle n’aurait imaginé que c’était ça que l’on penserait d’elle. Savait-il que pour elle, elle venait tout juste de naître ? Que son esprit était aussi vide de connaissance et d’information que celui d’un nouveau-né ? Que… L’être vierge de toute civilisation ! C’est ce qu’Hanna avait murmuré quand elle lui avait demandé son nom ! Ce pourrait-il que cette femme sache réellement qui elle est ?
-Du calme Marvel. Ce n’est qu’une enfant.
La douce voix de l’aveugle monta dans les airs, traversa le plafond et parvint jusqu’à l’oreille de la jeune alien.
-Comment veux-tu que je me calme ?! Elle est en train de tout détruire !
-Elle est en train de se construire ! Elle ignore tout d’elle-même, sur ce point tu as raison mais cela ne veut pas dire qu’elle est obligatoirement une menace pour nous !
Marvel ne devait pas avoir l’habitude qu’Hanna hausse le ton car il resta un instant sans rien dire.
-Mais même toi tu as eu un mouvement de recul lorsque tu as su qui elle était.
-C’est vrai mais ce n’était pas à cause d’elle mais à cause de ce qu’elle est.
-Ce qu’elle est ? Arrête de parler pas énigme, je te comprends encore moins que d’habitude.
-L’enfant du néant, l’être à créer… Marvel, la légende.
-Ce vieux comte ? Je pensais que tu n’y croyais pas ?! Selon toi elle  ferait  partie de ce mythe ?
-Tu ne comprends pas. Elle EST la légende !
L’adolescente ne comprenait rien à cette discussion, si ce n’est qu’elle en était le sujet principal. Une légende ? A propos d’elle ? Mais elle n’était personne, au sens propre du terme. Officiellement elle ne devait même pas exister.
-Elle est réveillée.
La rouquine sursauta dans sa couche.
-J’y vais. Grommela Marvel.
-Attend… Soit gentil avec elle. Elle représente beaucoup plus que tu ne le pense, elle-même n’a pas conscience de son importance. S’il te plaît.
-D’accord.
Aussitôt l’adolescente tenta de rouvrir les yeux. Surmontant l’éblouissement elle parvint à regarder autour d’elle. Tout était si différent, elle voyait les nuances, elle voyait les ombres, elle discernait chaque teintes. Comment les choses pouvaient-elles changer aussi vite ? Etait-ce ça la vie ? Un état physique où tout changeait du tout au tout en moins de quelques secondes seulement à cause de mots ? Elle avait tellement de questions qui se bousculaient dans sa tête. En grimaçant elle balança ses jambes par-dessus le bord du lit.  Elle portait toujours son jean mais n’avait plus ni chaussures, ni chaussettes. La porte s’ouvrit dans un mouvement qui sans doute était voulu délicat mais dont l’effet était plutôt évocateur de problème. Marvel entra, ses mains étaient occupées par un plateau sur lequel était posé différents aliments.
-Bonjour euh… Toujours pas de prénom ?
L’adolescente fit non de la tête, sachant très bien qu’il la verrait puisque ses yeux étaient fixés sur son dos.
-Génial. Soupira-t-il en posant sa charge sur une petite table.
-Dîtes-moi.
Marvel se tourna vers elle.
-Pourquoi les chaussettes ?
Elle releva la tête et remua ses orteils comme pour appuyer sa question, pour prouver sa légitimité. Marvel la dévisagea sans comprendre. Elle haussa les épaules.
-Les chaussettes. Pourquoi me les avoir enlevées ? Les chaussures je comprends bien ça peut être salissant dans un lit mais…pourquoi les chaussettes ?
L’homme la regarda incrédule.
-Vous avez passé une semaine dans le coma, deux autres immeubles ont été désinfectés, Hanna a fait une rechute, elle est dans la chambre juste en dessus, reliée à des dizaines de tuyau. J’ai perdu mon emploi, je risque de perdre ma maison. J’héberge une extra-terrestre amnésique et la première question qui vous vient à l’esprit après avoir collapsé de douleur c’est : pourquoi vous avoir retiré vos chaussettes avant de vous allonger dans le lit ?
L’adolescente s’étira.
-Une question stupide et la réponse résume la situation beaucoup plus rapidement que si j’en avais posé milles logiques. J’aimerais voir Hanna.
-Ok un point pour vous mais vous êtes trop faible.
-Je vais très bien.

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Promis j'essaie de revenir le plus tôt possible! En attendant, y'a des concours qui mattendent...